vendredi 22 février 2013

TOP TEN DE LA SEMAINE #1

Bonjour, bonjour !

J'ai eu une petite idée que j'espère originale : je vais essayer, chaque semaine, de vous poster un article "Top Ten de la semaine", chaque fois sur un thème/sujet différent. Comme ça je pourrai vous faire partager mes coups de coeur sur plein de choses ! Cependant, l'ordre des choses présentées dans l'article ne signifie pas que je préfère celle-ci à celle-là ; je vous présente seulement mes dix choses préférées concernant le thème. J'espère que cette initiative vous plaît, et que je vous ferai découvrir de nouvelles choses ;)

See you soon !

LES LIVES DE TAYLOR SWIFT

#1 Ronan - Stand Up 2 Cancer.

#2 I Knew You Were Trouble - AMA 2012.

#3 Innocent - MTV Music Awards 2010.

#4 Should've Said No - ACM 2009.

#5 Change - Red Cross Australia 2009.

#6 Live ft. Def Leppard CMT Crossroads.

#7 Back to December - CMA Awards 2010.

#8 Love Story - CMA Awards 2008.

#9 Forever & Always - CMA 2009.

#10 Red, I Knew You Were Trouble, We Are Never Ever Getting Back Together - Acoustic Australian Radio Station 2012.


Et comme je ne peux pas m'arrêter à seulement 10, voici un bonus :

We Are Never Ever Getting Back Together, Treacherous, 22Acoustic Performances from RED Album 2012.



dimanche 17 février 2013

LE CHERCHE-BONHEUR

Bonjour à tous :)

Pour changer un peu, je passe ma vie à lire - j'ai à peine regardé quelques films ce mois-ci et encore aucun épisode de série, ça devient grave Docteur ! En parlant de "docteur", je vous présente aujourd'hui ma dernière lecture, et vous comprendrez vite le petit lien avec ce mot.

Le cherche-bonheur
Michael Zadoorian

Avis de recherche : Ella et John Robina, couple de citoyens américains à la retraite, vus pour la dernière fois au volant de leur camping-car le Cherche-bonheur, aux abords de Detroit. Si vous avez des informations, merci de contacter au plus vite leurs enfants au numéro qui suit...
Après une longue vie et soixante ans de mariage, la santé chancelante et la mémoire qui flanche, Ella et John savent que leurs jours d'autonomie sont comptés. Si John ne se souvient plus nécessairement si on est mardi ou jeudi, il peut encore conduire. Ella le « kidnappe » donc, avec une seule idée en tête : partir une dernière fois à l'aventure. C'est le début d'un périple extraordinaire...

J'ai découvert ce roman grâce au Baby Challenge Contemporain organisé par LivrAddict, et c'est pourquoi je suis heureuse d'y participer, car il permet vraiment de découvrir de petites pépites d'or de la littérature ! Vous l'aurez donc compris, cette lecture a été un coup de coeur ou presque ; presque, car de petits détails de l'écriture ne me permettent pas d'aller jusque là. Tout d'abord, le sujet m'a semblé vraiment original, enfin personnellement c'est la première fois que je lis un roman sur la vieillesse avec une héroïne malade du cancer et son mari atteint de la maladie d'Alzheimer. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, l'écriture n'en est pas pour autant sénile, bien au contraire, elle est vive même si elle raconte parfois des moments durs, des petits moments du quotidien qui nous font vraiment voir ce que c'est que d'être vieux, de sentir son corps nous lâcher, notre force et notre mémoire flancher. Et en plus de cela, nous avons affaire à deux personnages forts de caractère, qui m'ont rappelée, avec leur voyage, ceux de Telma et Louise du célèbre film du même nom. Ella sait se montrer à la fois femme, épouse, infirmière et mère pour son époux, époux tour à tour homme et enfant, conscient ou totalement perdu dans les méandres de sa mémoire qui lui fait de plus en plus défaut. Le seul petit bémol notable, ce serait comme je le disais précédemment, un petit point de l'écriture ; en effet, Ella se répète souvent, les actions qu'elle décrit sont un peu monotones, mais finalement cela montre que la vie n'est un qu'un éternel recommencement de toutes les petites choses qui font le quotidien, et cela rejoint également les répétitions constantes qu'entraîne la maladie d'Alzheimer de John. Pour conclure, je vous conseille chaudement ce roman, car il ne tombe jamais dans le pathos, et malgré son sujet sensible celui-ci est traité avec beaucoup d'humour et de délicatesse.

Je m'attarde sur cette image. En observant le château bleu et les feux d'artifice, je m'aperçois que c'est ainsi que je me suis représenté Disneyland tout au long de ces années. Un peu comme le générique du Monde merveilleux de Walt Disney à la télévision. C'est peut-être pour ça que j'ai choisi cette destination pour notre voyage. Je peux paraître ridicule, mais quelque chose en moi se plaît à penser que le monde après celui-ci pourrait ressembler à ça. 
Comme je l'ai déjà dit, j'ai évacué depuis longtemps toute notion de religion et de paradis : les anges, les harpes, les nuages et toutes ces fariboles. Et cependant mon côté idiot et puéril veut toujours y croire. A un univers étincelant d'énergie et de lumière, où rien ne serait exactement de la même teinte qu'ici-bas : plus bleu, plus vert, plus rouge. Ou bien on devient des couleurs, ces lumières célestes qui saupoudrent le château. C'est peut-être un endroit que nous connaissons déjà, là où nous étions avant notre naissance, si bien que la mort est un simple retour aux sources. Auquel cas, j'imagine que nous en gardons une trace quelque part. Voici qui expliquerait ce voyage, la recherche d'un lieu parmi mes souvenirs, perdu au fond d'une crevasse de mon âme. Qui sait ? Et le paradis, ce serait Disneyland ? A-t-on jamais entendu pareille sottise. Ce doit être la drogue qui s'exprime.

Vous pouvez lire le premier chapitre ICI.


lundi 14 janvier 2013

YOU WERE TROUBLE, RIGHT ?




         - I think when its all over it just comes back in flashes, you know? It’s like a kaleidoscope of memories, it just all comes back, but he never does. I think part of me knew the second I saw him that this would happen. It’s not really anything he said or anything he did, it was the feeling that came along with it. And the crazy thing is I don’t know if I’m ever going to feel that way again, but I don’t know if I should. I knew his world moved too fast and burned to bright, but i just thought, how can the devil be pulling you towards someone who looks so much like an angel when he smiles at you? Maybe he knew that when he saw me. I guess I just lost my balance. I think that the worst part of it all wasn’t losing him, it was losing me. -



Jusqu'ici j'avais aimé tous les clips de Taylor Swift sans exception, chacun d'entre eux est unique à sa façon et beau à mes yeux suivant la chanson qu'il illustre et met en scène. Mais ça, c'était sans compter sur le clip de I Knew You Were Trouble, troisième single de son dernier album, RED. Celui-ci surpasse les autres de dix mille lieues, il est quasiment inclassable tellement il est beau et parfait. Tel le clip Ride de Lana del Rey, réalisé par le même artiste, I Knew You Were Trouble commence par une magnifique introduction parlée de Taylor Swift qui présente la chanson, ce qu'elle exprime et dans quel contexte elle a été écrite. Le seul défaut notable, c'est la non-cohésion entre la musique en arrière-fond de l'introduction et celle de la chanson, une coupure nette s'entend, mais au fond c'est peut-être pour séparer les deux morceaux distinctement, on ne peut malheureusement pas savoir. A part cela le clip est parfait, Taylor Swift se montre sous un jour que l'on n'a jamais vu, à la fois forte et fragile, telle une rebelle au coeur tendre, prête à se damner pour l'homme qu'elle aime, jusqu'au point d'être trahie et de voir la honte s'abattre sur elle, alors même qu'elle était prévenue que ce garçon n'était pas pour elle (cf maman Swift qui voyait d'un mauvais oeil la relation entre sa fille et le ténébreux Jake Gyllenhaal, mais bon, elle l'aura dit à la petite). Bref, tout ça pour dire que ce clip illustre une superbe chanson d'un magnifique album dont je ne me lasse toujours pas même si cela fait trois mois que je l'écoute lors de chacun de mes trajets en voiture, album dont je vais très certainement donner mon avis dans un long article prochainement, si la flemme ose enfin me quitter, mais surtout si j'avais à critiquer chaque chanson objectivement, ce qui ne sera pas chose facile !







mardi 13 novembre 2012

UNDER THE SUN, EVERYDAY IS A GOOD DAY

Hello la compagnie !

Cela fait presque un mois que je n'ai pas écrit un seul article même si j'en ai plusieurs en tête, mais des soucis de santé ainsi que le travail demandé par l'université m'ont pris - et ça continue d'ailleurs - beaucoup de temps. Mais je reviens en force avec cet article même s'il n'en est pas vraiment un (vive ma logique, oui je sais) ; c'est plutôt une "exposition-hommage" que je fais à un couple japonais extraordinaire que j'ai découvert par hasard : la vieille Misao âgée de 88 ans et son superbe chat aux yeux vairons nommé Fukumaru. L'histoire, pour blablater un peu et contextualiser la chose, c'est que le petit-fils de Misa, photographe, a décidé de leur rendre hommage, à elle et à son chat, sur l'amour les unissant au quotidien depuis de nombreuses années, à travers un livre-photos intitulé Misao the Big Mama and Fukumaru the Cat.
J'ai donc voulu partager quelques-uns de ces magnifiques clichés qui représentent l'amour inconditionnel qui peut lier un être humain et un animal, un amour dénué d'intérêt et simplement magnifique. 



















Même si cela n'en a pas l'air à vue d'oeil, je viens de vous faire une brève sélection parmi les photos disponibles ici, qui sont quand même au total de 28 - alors que le livre se compose de 60 pages. 
J'espère que vous appréciez autant que moi ce genre de photos, et sur ce je vous dis à bientôt ;)